Dans le mille...De plus, avec une dépression, aucun intérêt de faire les points de soudure qui bouchent les trous d'usinage de la conduite d'air qui va au cul du vérin
Effectivement, enclenchement pas à l'arrêt mais pas en forcant en pleine charge non plus.
Ce que j'ai voulu dire par "se mettre de travers" c'est au niveau de la jonction vérin/disque c'est bien là que ca encaisse un gros effort en porte-à-faux lors de l'actuation, les ressorts étant (j'imaginais) répartis sur le pourtour du disque à chaque tenon et je voyais mal les deux petites vis en M4-5 supporter longtemps l'effort de torsion latérale qu'elles encaissaient, mais j'ai fini par comprendre qu'il n'y a de ressort de rappel que dans le vérin, donc le porte-à-faux sur l'axe du vérin n'est vraiment pas méchant en théorie si tout se passe comme sur des roulettes, les tenons entrant dans leurs logements sans problèmes.
(J'imagine quand même que le vérin comporte un guide conséquent pour son axe, et en voyant la longueur du vérin par rapport à sa course, je pense que c'est le cas)
Ceci dit j'aimerais comprendre comment les tenons peuvent pénétrer pleinement lors de l'enclenchement vu qu'on est un peu en charge, j'imagine mal des trous "progressifs" (quoique...), ca doit peut-être demander une manoeuvre style embraye gentiment, débraye et ainsi de suite jusqu'à l'allumage du témoin puis rembraye normalement?
Pour la noix, je pense qu'elle est en fait renforcée par une piece ressemblant à une fusée de moyeux dont on voit ici la platine fixée à la noix, la fusée allant se loger dans le roulement, peut-être pas si faiblarde que ca finalement.
Plus je regarde ca plus je me dis que... c'est beau!