Pour sortir un silentbloc sans presse : scier le silentbloc en prenant garde de ne pas abîmer l'oeil du tirant ou autre. Il faut scier bien droit (
et comme chacun le sait, il n'y a pas à tortiller du c*l pour scier droit)
C'est plus facile en brûlant le caoutchouc au flambard. Mais ça pue.
On peut alors sortir ce qu'il en reste à la masse et au burin, en finesse. Ensuite un petit coup de lime pour éliminer les éventuelles traces s'il y en a (autrement dit si on travaille comme un goret).
On place le nouveau silentbloc bien aligné et graissé (graisse cuivre ou graphite), et on serre l'étau
Comme on est un gros radin et qu'on a acheté le moins cher au Bricolo du coin, l'étau pète.
Alors, on tente la technique boulon-rondelles. Certains y arrivent... Là, ça le fait pas. Pas les muscles.
Pas plus qu'avec l'étau tout neuf de qualité professionnelle. pas les muscles, et pas envie de les casser (l'étau et le muscle), même s'il est écrit dessus "garanti incassable" (sur l'étau, pas sur le muscle).
Alors, on sort la presse, et miracle !
Au passage, la petite presse à vis de récupération vue plus haut, selon des renseignements "autorisés", développerait facilement plusieurs tonnes. Selon ces mêmes sources, la force moyenne de dépose et repose d'un silentbloc non grippé se situe aus alentours de 5 tonnes.
Donc la petite presse rikiki est quand même costaud !
RRVM de 90 / Vive la bidouille ! Et pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?"Les RANGES ou les LANDS c'est comme les filles ,y a toujours un endroit ou t'appuie qui les font pleurer" (bobflappy, le 24 juin 2003 après JC)