Ici, c'est le système d'entraînement par croisillons/tourillons, mais le principe est le même avec le moyeu de ta photo.
J'ai agrandi la fameuse pièce.
Voir également l'ergot de limitation en rotation et les oreilles de positionnement qui, je le suppose tout au moins, se placent dans ces fameuses lumières du "spider".
L'anneau à cames peut donc tourner partiellement, suffisamment en tout cas pour décraboter l'arbre qui avance par rapport au "boîtier" du différentiel. Comment le bidule est assemblé (forgeage?) sur cette fameuse gorge et dans quelle pièce cette dernière est-elle usinée (perso, d'après la planche, je pense que c'est dans l'anneau à cames lui-même), ça, mystère...
Sans avoir tripoté les pièces, on ne peut guère aller plus loin. En revanche, je suis certain du principe de fonctionnement ; seules les dispositions constructives m'échappent.
Je n'ai pas trouvé mieux que cette doc...

Enfin je serais curieux de connaître le détail de conception des "low-friction ramps" de ces fichues cames (qui m'ont l'air bigrement raides, en fait) ainsi que le tarage des ressorts...


